Aller au contact
Nous agissons au contact direct des personnes victimes d’exil forcé, de conflit ou de crise majeure. Nous fournissons une aide humanitaire et un soutien logistique d’urgence.
Notre Action
Sur le terrain
Lorsque des personnes sont contraintes de prendre les routes de l’exil ou qu’elles sont confrontées à une crise majeure dans leur pays, leur intégrité physique est en danger. Nous allons à leur rencontre et nous leur portons assistance. Nous croyons à l’action directe. Nous plaçons l’humain au centre.
En Suisse
Nous coordonnons nos opérations à l’international depuis la Suisse, mais nous agissons également sur le territoire suisse lui-même en assurant le suivi et l’intégration des réfugiés qui s’y trouvent. Parce que le parcours migratoire des personnes n’est un succès que lorsqu’il est appréhendé dans son ensemble.
Missions & valeurs
Van For Life est une organisation humanitaire à but non lucratif basée à Genève, en Suisse. Elle œuvre indépendamment de toute influence politique, ethnique ou religieuse. Elle est reconnue d’intérêt public en Suisse et agit par conséquent en tant qu’organisation non-gouvernementale (ONG), dans plusieurs pays.
La vulnérabilité extrême des populations forcées à l’exil est au cœur de nos préoccupations. Notre mission est de fournir une assistance immédiate aux réfugiés piégés dans des situations critiques, que ce soit dans leur pays d’origine et à toutes les étapes de leur parcours. Van For Life privilégie une approche directe d’entente avec les personnes présentes sur le terrain, afin d’apporter une aide adaptée à chaque contexte et pour optimiser les ressources disponibles.
Nos interventions visent à préserver la dignité et l’intégrité physique des individus, ainsi que le respect des droits humains. Nous restons fidèles à nos principes fondamentaux : agir au contact direct des personnes, le plus rapidement possible et en collaboration avec les acteurs locaux. Parce que la meilleure réaction se construit d’abord avec les principaux concernés.
Problématique de la migration
Une question de solidarité humaine
La migration de personnes et ses conséquences sont au cœur des débats de société depuis toujours. Quelle que soit sa nature, l’exil constitue inévitablement un traumatisme pour les populations qui y sont confrontées. D’abord pour ceux qui ont tout quitté et se retrouvent sur les routes, en quête d’une terre d’accueil ; mais l’exil est aussi un défi pour les pays de destination, qu’ils se montrent solidaires envers les personnes concernées ou, au contraire, réfractaires car soucieux de préserver un certain équilibre.
Il ne s’agit pas ici d’entrer dans des considérations politiques, religieuses ou ethniques mais simplement de garder à l’esprit qu’aucun individu ne souhaiterait quitter son pays d’origine s’il n’y était pas obligé. Au-delà des discussions sur le bien-fondé de la migration ou la classification de certains types d’entre elles, une constante demeure : lorsque des personnes prennent le chemin de l’exil, elles se retrouvent dans une situation de vulnérabilité extrême. Et c’est uniquement cela qui importe.
D’un point de vue strictement humain, la seule préoccupation qui prévaut est celle du niveau d’assistance qu’il convient d’apporter aux personnes ainsi précarisées. Ce qui peut être fait pour soulager des individus fragilisés doit être mis en œuvre, toute autre question passe au second plan. C’est la nature même de l’être humain, sa noblesse qui entre en action.
En tout temps, des femmes et des hommes se sont mobilisés pour porter assistance à leurs pairs mis en danger. Les événements actuels nous montrent aujourd’hui que rien n’a réellement changé : les guerres existent toujours et celles que l’on croyait impossibles ont éclaté ; les crises économiques leur font écho ; les répressions ethniques et religieuses demeurent ; les catastrophes naturelles se succèdent à un rythme proportionnel aux dérèglements climatiques auxquels nous assistons et dont nous sommes, vraisemblablement, la cause.